Dans une enquête du Figaro, plusieurs traducteurs et doubleurs racontent leurs calvaires professionnels face à l’IA générative. Capucine, traductrice de livres pratiques et de biographies, témoigne : « Le téléphone a commencé à moins sonner, puis les deux maisons avec qui j’ai l’habitude de travailler m’ont tout simplement annoncé qu’elles préféraient se tourner vers des solutions d’intelligence artificielle, faute de moyens. »
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