Pour la libération de Florence Aubenas et Hussein Hanoun Al-Saadi : les messages de soutien (2) - 21 février 2005

Les messages de soutien pour la libération
de Florence Aubenas et Hussein Hanoun Al-Saadi (2)

Jeanne MINÉ 8 ans, écolière :

J’espère que Florence et Hussein reviendront bientôt ( Retour à l’article )

Rana SABRA, universitaire :

En ce 14 février, jour où la folie meurtrière exhume le spectre de la violence au Liban et remet au goût du jour le mépris de la vie humaine, je tiens à réitérer mon soutien à la liberté d’expression et d’information, aux hommes et aux femmes qui la mettent en application, au quotidien... au péril de leur vie. ( Retour à l’article )

Philippe DETREZ, secrétaire général UD CGT du Nord :

Au nom de toute la CGT du Nord j’apporte tout mon soutien à Florence Aubenas et à Hussein Hanoun Al-Saadi et aux différentes actions pour leur libération.
Il est par ailleurs intolérable que des journalistes ne puissent exercer leur métier en toute indépendance, en toute liberté et en toute quiétude. Prendre certains d’entre eux en otage, faire peser sur eux une menace de mort, c’est exercer une odieuse pression sur l’ensemble de cette profession et sur sa mission de porter à la connaissance du plus grand nombre l’exactitude des faits se déroulant en Irak ou en tout autre lieu. ( Retour à l’article )

Nicole VANDERMERSCH :

Courage ! ( Retour à l’article )

Massy TOMABI :

Bonne chance ! ( Retour à l’article )

Dany MOUREZ :

Accrochez-vous ! On est avec vous. Courage ! ( Retour à l’article )

Éric QUIQUET :

Liberté pour Florence et les autres…. VITE ! ( Retour à l’article )

Denis CACHEUX, comédien :

Une presse présente, attentive, perméable à la vie et fidèle mais critique sur les faits est indispensable. Merci de votre action pour soutenir les victimes. Solidaire. ( Retour à l’article )

Nathalie MERCIER :

Liberté... liberté ! Et soutien à tous ceux qui luttent pour la préserver ! ( Retour à l’article )

Dorothée DROMART :

Nous avons, ici, tous le rêve, le vœu que vous puissiez rentrer le plus tôt possible. Nous sommes tous avec vous. ( Retour à l’article )

Ines AHARRAM, 13 ans :

Liberté avec Hussein. Vous avez le droit comme chacun d’avoir la liberté. Je vous soutiens tous ! ( Retour à l’article )

Chahinèze DJARAOUI, 12 ans :

Liberté à tout le monde !! ( Retour à l’article )

Leïla, centre social des 3 quartiers :

Libérez les otages ! ( Retour à l’article )

Sana BAHLOUL, 13 ans :

Libérez tous les otages ! ( Retour à l’article )

Sarah et Anaïs, 13 ans :

Liberté pour tous les otages ! ( Retour à l’article )

Pierre TAVERNE :

Femme dans toute sa splendeur
Le danger ne te fait pas peur
Ouragan mais pas dévastateur
Regard profond qui vient du cœur
Être a tes côtés c’est du bonheur
Non, intervenir pour toi n’est pas un leurre
Cette vie tu l’as choisie, dur labeur
Être journaliste du terrain : malheur
Aux journalistes « bidons » synonymes de terreur
Une fois que tu seras libérée de l’horreur
Bienvenue chez les vrais libérateurs
Et continue à travailler avec honneur
Naturelle tu dois rester, toi « chercheur »
Aimant l’information « en direct » ta valeur
Signifie que tu emmerdes les menteurs
À bientôt ( Retour à l’article )

Frédérique LEMAIRE, attachée de presse :

Liberté ! ( Retour à l’article )

Jacqueline AUBENAS :

La solidarité, la cordialité, le talent du Nord pour Florence qui le connaît, l’aime et le comprend. ( Retour à l’article )

Françoise HOSTALIER :

Florence, Hussein, revenez-nous vite ! Ce monde a tellement besoin de vérité. ( Retour à l’article )

Martine AUBRY, maire de Lille :

Florence, Hussein, on vous attend. On a besoin de vous. ( Retour à l’article )

Bernard DEROSIER, président du conseil général du Nord :

À bientôt Florence !
À bientôt Hussein ! ( Retour à l’article )

Stuart SEIDE, directeur du théâtre du Nord :

Il faut que la liberté soit dite pour que le monde avance. Florence et Hussein travaillent pour que la vérité circule. ( Retour à l’article )

Mado DESPLECHIN, retraitée :

C’est encore plus douloureux quand on a eu le bonheur de te rencontrer ! Avec toute mon espérance. ( Retour à l’article )

Gilles DEFAQUES, directeur du Prato :

Appel d’air,
Appel d’air,
On ne peut mutiler l’appel d’air. ( Retour à l’article )

Catherine DÉTRAIN :

Les lecteurs de la presse ne vous oublient pas et admirent votre professionnalisme, votre courage, votre engagement à notre service. ( Retour à l’article )

Béatrice LAÎNÉ, assistante de production audiovisuelle :

Que le soleil de la justice, « Liberté des droits de l’Homme », éclaire vos cœurs et illumine les Hommes. Je suis de tout cœur avec vous. ( Retour à l’article )

Henry VERBRUGGHE, directeur administratif :

Florence, Hussein,
De tout cœur avec vous et avec vos familles parce que c’est votre liberté et par conséquent celle de tout un chacun qui est en jeu. ( Retour à l’article )

Colette COMELLI :

Que vous nous reveniez vite. Nous vous attendons. ( Retour à l’article )

Jérémy ACCARY, étudiant en communication :

Pensées pour les détenus, derniers remparts de la liberté d’expression. ( Retour à l’article )

Jonathan DEKAISER :

Pour Florence, continuez à être présente au plus proche des gens. Nous serons toujours là pour vous lire ! ( Retour à l’article )

Véronique FLYE SAINTE MARIE, assistante relations presse :

Florence, Hussein, Giuliana... et les autres, on ne vous oublie pas. Revenez-nous vite ! ( Retour à l’article )

Nicole ERNOULD, retraitée :

Courage ! Espoir ! À bientôt. ( Retour à l’article )

François HERNOULD, monteur d’opérations immobilières :

Dans l’espoir d’un retour prochain. ( Retour à l’article )

Maurice CHALMIN, retraité :

Liberté chérie. À bientôt pour le retour de tous les otages. ( Retour à l’article )

Abderrahmane FARES, pédagogue :

Avec la solidarité d’aujourd’hui et du future jusqu’à votre retour au pays au près de vos proches et de nous. À bientôt. ( Retour à l’article )

Mourad OURAL, designer :

Que dire sinon... garder la pêche ! ( Retour à l’article )

Nelly CAILAC, inspecteur du travail :

Espoir, liberté... Nous vous attendons pour très bientôt. ( Retour à l’article )

Liaouei HU, étudiante :

Revenez vite ! ( Retour à l’article )

Stéphanie PLATTEAU, infirmière :

Je ne vous connais pas, mais on vous attend. ( Retour à l’article )

Corine LEGRAND, fonctionnaire :

Force et courage, je vous en adresse. ( Retour à l’article )

Yves KOENIG, postier :

Leur liberté, c’est la nôtre. Autrement c’est une insulte à l’intelligence. ( Retour à l’article )

Philippe LAIDEBEUR, journaliste :

Revenez vite ! ( Retour à l’article )

Jean-François CAUCHE, étudiant-chercheur :

L’information ne saurait être brisée par des motifs économiques, politiques ou sociaux. J’espère que toutes ces actions de soutien pourront leur rendre la liberté et devenir un symbole pour les opprimés. ( Retour à l’article )

Élisabeth VANHADENHOVEN, standardiste :

Je suis absolument certaine que votre métier a fait de vous une personne extraordinairement forte. Tenez, nous sommes là aussi.
Je pense surtout aussi à vos parents. Avec toute mon amitié. ( Retour à l’article )

Florence GODRIE, chargée de communication :

Beaucoup de monde ce soir. Ne pas les oublier.
Votre travail, son travail est indispensable ! ( Retour à l’article )

Véronique SCHMIDT, communication :

Courage. À très bientôt. Nous l’espérons de tout cœur. ( Retour à l’article )

Louisa LUCAS, agent P.T.T :

J’espère bientôt vous revoir et vous lire à nouveau. Bon courage ! ( Retour à l’article )

Régis ALLIENNE, menuisier :

À ta libération. ( Retour à l’article )

Sylviane LAISNE, professeur :

Pendant ce temps passé ici, dans ce « Théâtre du Nord », j’ai levé la tête vers le plafond semé de lumière et j’ai souhaité que vous soyez en train de regarder les étoiles, y puisant l’espoir. ( Retour à l’article )

Chloé ANDRÉ, étudiante d’art dramatique :

Tout mon soutien, de tout cœur merci ! ( Retour à l’article )

Jonathan CHANSON, étudiant :

« Ce que nous faisons n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan, mais si nous ne le faisions pas, elle manquerait à l’océan » Mère Térésa. ( Retour à l’article )

Sébastien AMBUARD, étudiant :

À très vite... et qu’on vous rende la liberté. ( Retour à l’article )

Robert DESPLECHIN, retraité :

Courage ! ( Retour à l’article )

Pierre et Jane LACASCADE, retraités :

Pour que les journalistes résistent, à nous de résister. Ils peuvent compter sur nous. ( Retour à l’article )

Jérémy DEBRUYNE, un peu de tout un peu de rien :

La liberté, c’est notre plus beau trésor. ( Retour à l’article )

Fabien ROUSSEL, PCF Nord :

Terrible la guerre. Terribles les dommages collatéraux. Libérez-les ! ( Retour à l’article )

Christophe CARASSOU, comédien :

Ne cédons pas à la censure.
Vive la liberté (d’expression et de la presse) ( Retour à l’article )

Anna LIEN, étudiante :

À Lille ce soir, et des pensées tous les jours. ( Retour à l’article )

Jonathan HECHEL, étudiant :

Parce que la parole humaine ne peut être otage du pouvoir silencieux. ( Retour à l’article )

Hélène FLAUTRE, députée européenne :

Chère Florence, cher Hussein et toi Giuliana que je ne connais pas, nous sommes tous aux nouvelles de vos mots et de vos vérités, qu’ils viennent vite. ( Retour à l’article )

Daniel PERCHERON, sénateur :

Pour la liberté ! ( Retour à l’article )

François WIEL :

Merci Florence, pour ton professionnalisme qui nous a touché à St Omer. A bientôt. ( Retour à l’article )

Patrick DÉTRAIN, journaliste :

Ils sont nos yeux.
Ils sont nos oreilles.
C’est vous, c’est nous que l’on mutile ! ( Retour à l’article )

Monique GAMBERT, retraitée :

Florence, on est avec vous. Tenez courage ! Votre métier est beau. Heureusement qu’il y a des gens comme vous Il faut la vérité, il faut la liberté. ( Retour à l’article )

Valérie MANIGLIER, costumière :

A vous qui luttez ! En ces moments difficiles, mon cœur est avec vous. Courage du Lion ! Victoires Lumineuses ! Et merci. ( Retour à l’article )

Isabault MANIGLIER, 11 ans :

Je vous soutiens de tout mon cœur ! ( Retour à l’article )

Omar ALAOUI CHRIFI :

Pensez à toutes les victimes des guerres. En espérant qu’ils nous reviendront très prochainement. Ceux sont toujours les innocents qui paient. Arrêtons le massacre !!! ( Retour à l’article )

Marion PARENT, chargée de communication :

Accrochez-vous et merci pour votre courage ! ( Retour à l’article )

Alice AUBRY, étudiante :

Agissons tous pour la liberté de la presse ! ( Retour à l’article )

Françoise VAN MEYEL, directrice maison de retraite :

Revenez-nous très vite ! ( Retour à l’article )

Sophie PRODHOMME, artiste-peintre :

On pense très fortement à vous. À bientôt. ( Retour à l’article )

Joaquim DASSONVILLE, photographe :

Toutes pensée vers Florence et Hussein ainsi que tous les journalistes, reporters, ... qui au nom de l’information risquent leurs vies pour nous. Alors mobilisons nous pour eux. Merci. ( Retour à l’article )

Joséphine Françoise LADU FAU, enseignante :

Lorsque je reprendrai mes élèves à la rentrée, je leur parlerai de vous et de votre absence. À bientôt Florence, Hussein et Giuliana. Nous vous attendons. ( Retour à l’article )

Achifae MOUSSA :

En ce jour, jeudi 17 février 2005, nous sommes sans nouvelles en espérant qu’ils sont en vie ainsi que tous les journalistes disparus. N’oublions pas les innocents qui meurent chaque jour. Eux aussi méritent une reconnaissance. ( Retour à l’article )

Angèle DAZIN, professeur documentaliste :

Pour notre liberté à tous. Parce que je ne comprenais pas mon malheur tant que je n’avais pas ressenti le bonheur de savoir Christian Chesnot et Georges Malbrunot libres. ( Retour à l’article )

Delphine GOTCHAUX, journaliste :

Tenez bon et faits les rire Florence… ( Retour à l’article )

Sarah KIRSCHNER, étudiante :

Courage et que votre exemple serve à l’Idéal de la démocratie. Revenez vite ! ( Retour à l’article )

Cathy VANTOUROUT :

De nos jours, il y a assez de moyen de communications. Respectons la liberté. Plus jamais ça ! ( Retour à l’article )

Monique GRIMALDI, directrice adjointe travail :

Pour que tout soit fait. Pour que les deux soient libérés. ( Retour à l’article )

Léa GOGUEY-CAILAC, étudiante :

Pour la liberté et surtout pour vous ... À bientôt. ( Retour à l’article )

Raymond NAAR :

Ma grande,
Au fil de la liberté, tu es toujours rattachée. Sois entière mon dieu. ( Retour à l’article )

Magali AVISSE, communication :

Des pensées chaque jour pour vous tous et votre retour... ( Retour à l’article )

Pierre HENRY et M. BARBRES, journalistes :

Nous demandons la libération des otages et le rétablissement de la paix. ( Retour à l’article )

Alexandre COTTIN, étudiant :

Pensée à cette conscience que je n’écoute que trop peu. ( Retour à l’article )

François DESRUELLE, bibliothécaire :

Nous pensons à vous. Nous ne vous oublions pas. Nous vous attendons FERMEMENT ! ( Retour à l’article )

Farah LEKEHAZ, commerciale :

Ce sont des personnes comme vous qui m’avez donné envie d’être journaliste. ( Retour à l’article )

Anita GROFF, journaliste :

Pour penser à votre retour, y croire avec vous. Nous vous attendons. ( Retour à l’article )

Mossaâb JABAR, étudiant :

Je vous souhaite un retour dans les plus brefs délais. ( Retour à l’article )

Laurent PASSICOUSSET, journaliste :

Solidarité avec elles, avec eux, avec leurs proches. ( Retour à l’article )

Lolitta DANDOY, étudiante en journalisme :

Reviens vite Florence. Vive la liberté de la presse. ( Retour à l’article )

Frédéric HANCQUART, réalisateur :

N’oublions personne, ni Florence, ni Fred Nérac. A bientôt. ( Retour à l’article )

Pieruina CHECHINI, employée La Poste :

Sans journaliste sur le terrain que deviennent la liberté et la démocratie !
Per Giuliana, Coraggio ! Il mondo è con lei. ( Retour à l’article )

Anne OUTREBON, A.M.P :

C’est un devoir de citoyen de soutenir. La libertédelapresse etdesjournalistesquimilitentpourla vérité. ( Retour à l’article )

Jean-Philippe SAMARCQ, chargé de mission :

Parce que la liberté sans la paix n’est rien ! ( Retour à l’article )

Mireille CHALMIN, retraité :

Revenez-nous vite ! ( Retour à l’article )

Monique THOREZ, éducatrice :

Pour la liberté de tous ! ( Retour à l’article )

Patricia LEROY, enseignante :

Pour la liberté de la presse. ( Retour à l’article )

Julie MOUTAIN, étudiante :

Ne lâchez pas la lutte ! ( Retour à l’article )

Younès HAMMACHE :

Nous t’attendons avec impatience. ( Retour à l’article )

Juliette DULON, chargée des relations publiques :

Revenez vite ! Bravo pour votre travail. Continuez ! ( Retour à l’article )

Claire DESMITT et Marion SIX, étudiantes en lettres modernes :

Merci de lutter pour l’information ! Vive la vérité et vive la liberté ! Nous ne vous oublions pas. ( Retour à l’article )

Christine BERNARD, comptable et Yannick DELPLANQUE, informaticien :

Hier vous témoigniez,
Aujourd’hui nous témoignons,
Demain vous témoignerez à nouveau ! ( Retour à l’article )

Julien SIBIERSKI, directeur général :

Vite ! ( Retour à l’article )

Josiane LEDIEU, professeur de collège en retraite :

Puisse l’humanisme l’emporter sur la barbarie et la guerre ; et rendre la liberté à tous les otages. ( Retour à l’article )

Nabil EL-HAGAR, président de l’association France-Palestine solidarité :

Chère Florence Aubenas,
Triste est la manière dont le monde découvre la journaliste que vous êtes. Vos ravisseurs, ces nouveaux concurrents dans la barbarie moderne, ne savent pas que vous êtes contre la guerre, ils n’ont pas lu votre livre : La Fabrication de l’information. Ces ignorants qui vous tiennent en otage savent-ils que, ce faisant, ils desservent la cause qu’ils prétendent défendre et achèvent le travail de veux qu’ils affirment combattre ?
Le franco-palestinien que je suis partage votre douleur et celle d’Hussein Al-Saadi. Je ne suis pas le seul, toutes les victimes du mal que l’homme fait à l’homme dans cette région, et ils sont nombreux, souffrent avec vous et vous soutiennent dans cette épreuve.
Tenez bon, à bientôt. ( Retour à l’article )

Guillaume NOWAK, architecte :

Florence, Hussein, Giuliana et tous les autres qu’on oublie trop souvent... Dépassé le choc d’apprendre votre captivité, nous avons décidé de transformer le malheur que vous vivez actuellement en une force mobilisatrice qui met en lumière votre humanité et ce goût de la liberté que nous partageons. Le mouvement croit. Nos voix s’unissent. Nous espérons votre retour. ( Retour à l’article )

Habib GUERROUMI, musicien chanteur de musique arabo-andalouse :

Tiens bon nous sommes toujours avec toi. ( Retour à l’article )

Liliane GASIOREK, formatrice :

Avec toute mon admiration. ( Retour à l’article )

Pascal MASCLET, maire d’Arleux, président de l’Association des maires du Nord :

Depuis le 8 janvier Florence Aubenas et son interprète Hussein Hanoun Al - Saadi ont été enlevés. Florence Aubenas était en Irak pour rendre compte de la situation dans ce pays au nom du droit imprescriptible à l’information, droit indissociable de la démocratie.
Ils sont tous les deux retenus contre leur gré, au mépris du respect des droits de l’Homme. Solidaire de Florence, Hussein et leurs amis, j’exige que les ravisseurs les libèrent immédiatement et sans conditions. ( Retour à l’article )

Hubert LEDOUX, journaliste :

Plus que jamais, dans le monde actuel, le témoignage de journalistes professionnels est important. Plus que jamais il s’agit de défendre leur liberté de travailler en sécurité là où leur présence est nécessaire ( Retour à l’article )

Marie ELOIRE, rédacteur service culturel :

Courage ! ( Retour à l’article )

Élisabeth LEFEVRE, retraitée :

Merci d’aller à l’information. Revenez vite ! ( Retour à l’article )

Christiane BOUCHART, maire adjointe à la mairie de Lille :

C’est par notre mobilisation quotidienne et collective, que nous pouvons contribuer à permettre l’expression libre. ( Retour à l’article )

Pascale SABLON :

Courage et à bientôt. ( Retour à l’article )

Christian LECONTE, animateur caritatif :

Courage, on est avec toi de toutes nos forces jusqu’à ta libération. ( Retour à l’article )

Sophie DESCAMPS et Sophie BOUTIN, chargées de mission :

Solidarité ! ( Retour à l’article )

Joâo-Claudio MUTUALE, agent de sécurité :

Allez Florence ! Bon courage et tiens bon, car toute la France te soutient. ( Retour à l’article )

Bernard WATEL, ANPE :

On a besoin des journalistes pour SAVOIR ! ( Retour à l’article )

Jean CHAUMONT, photographe :

Tout mon soutien pour la libération de Florence et Hussein. ( Retour à l’article )

Jeannine ESCANDE, conseillère municipale :

Solidarité ! ( Retour à l’article )

Jean-Luc PITEUX, photographe :

Nous pensons à toi. ( Retour à l’article )

Benoît CELLIER, fonctionnaire :

Une pluie de pensée établit, ne peut jamais, ne doit jamais se faire par la force. ( Retour à l’article )

Cathy LEURIDAN, responsable formation :

Vous nous manquez. Tenez le coup ! On vous attend. ( Retour à l’article )

Arnaud ROBIN, photographe :

Courage ! ( Retour à l’article )

Maurice DELBART, journaliste honoraire :

Florence, Hussein, on continue le combat. Courage ! ( Retour à l’article )

Jean-Pierre OUDOUX, police :

Courage à vous. ( Retour à l’article )

Michel VERMEERSCH :

Bon courage à tous les otages, qui, je l’espère seront libérés le plus vite possible !! ( Retour à l’article )

Nelly BERNARD et Charles NOEL, retraités :

Bon courage et à un retour rapide. ( Retour à l’article )

Françoise VAN MEYEL, directrice d’une maison de retraite :

À bientôt, je vous embrasse ( Retour à l’article )

Djamila TERFOUS, enquêtrice :

Je souhaite que vous puissiez effectuer votre travail dans la liberté d’expression et que vous puissiez retrouver la paix et l’harmonie familiale. ( Retour à l’article )

Stéphanie MAURICE, journaliste :

J’aimerais la lire à nouveau, lire des textes nouveaux. J’aimerais qu’elle revienne ! ( Retour à l’article )

Marc DUBOIS, journaliste :

Liberté pour tous les otages. ( Retour à l’article )

Caroline LECLERCQ, gestionnaire comptable :

Que cette guerre se termine un jour. La liberté de s’exprimer et de la presse et un droit. Nous ne devons pas en être prisonnier. ( Retour à l’article )

Maryan LEMIEUVRE, lycéen :

Courage Florence ! Tour le monde te soutient ! ( Retour à l’article )

Henri BRINE, artiste musicien :

Peut-on rêver au remplacement des mitraillettes par des clarinettes ? Mon vœu pour une issue heureuse ! ( Retour à l’article )

Hubert LEDOUX, journaliste :

Il est important que les journalistes professionnels puissent se déplacer pour témoigner là où c’est nécessaire et la faire en toute sécurité. Il y va de notre liberté. ( Retour à l’article )

Élisabeth VANHODENHOVEN, standardiste :

Courage Florence, à votre famille et à tous ceux qui sont comme vous. ( Retour à l’article )

Christine KTORZA, enquêtrice :

Beaucoup de soutien et de compassion. ( Retour à l’article )

Stéphanie GORNAEM, enquêtrice :

De tout cœur avec vous. ( Retour à l’article )

Abdel Wahab SAOUDI, animateur :

Avec vous jusqu’à votre libération ! ( Retour à l’article )

Stéphane CZUBEK, réalisateur, Lille :

Pensées à mon ami Fred Nérac. ( Retour à l’article )

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