Ils « dénoncent toutefois le fait que cette condamnation « ouvre la porte à la criminalisation des activités journalistiques » et « appuient la position de l’Alliance indépendante des journalistes indonésiens qui dénonce le fait que cette condamnation est la première de journalistes étrangers pour infraction de la législation à l’immigration. Ils risquaient cinq ans de détention ».
Pour le SNJ et le SNJ-CGT, « au-delà de la question administrative des visas, les autorités indonésiennes veulent visiblement faire un exemple dans cette affaire pour interdire l’accès à la Papouasie » théâtre d’une guérilla.