Le projet de rupture conventionnelle collective qu’elle avait dévoilé fin 2018 au nom de la « recomposition des effectifs nécessaires à la transformation » ne sera pas signé par la majorité des organisations syndicales du groupe audiovisuel public, mardi 30 avril. Le syndicat SNJ avait déjà communiqué son opposition vendredi 26 avril, FO faisant de même lundi 29, ce qui a annulé tout possibilité d’adoption du plan par référendum des salariés. Il devait permettre une réduction de la masse salariale et une réorientation des embauches de profils vers des profils plus jeunes et plus adaptés à la révolution numérique.
Le gouvernement a demandé au groupe un effort d’économies qui avoisinera les 400 millions d’euros d’ici 2022, qui passera notamment par la suppression de France 4 et France Ô.
TD