Avec l’aide du syndicat des journalistes irakiens, la FIJ (Fédération internationale des journalistes, 600 000 membres dans le monde), les syndicats en France (SNJ-CGT, SNJ, USJ-CFDT) et les organisations de soutien ont tout mis en œuvre pour faire pression sur les autorités irakiennes et françaises afin de parvenir à cette libération.
Après avoir saisi le Haut Commissaire au droits de l’Homme de l’ONU à Genève, le SNJ-CGT condamne la « prise en otage » des journalistes en Irak comme partout dans le monde. Il rappelle que le droit à l’information des citoyens et le droit des journalistes à pouvoir travailler en toute sécurité sont des droits inaliénables reconnus par l’ONU.