Pour la libération de Florence Aubenas et Hussein Hanoun Al-Saadi : les messages de soutien (3)

Les messages de soutien pour la libération
de Florence Aubenas et Hussein Hanoun Al-Saadi (3)

Anne-Marie POIRETTE, institutrice :

Avec tout mon amour. ( Retour à l’article )

Jérôme VANTROYEN, AGTRF :

Bon courage ( Retour à l’article )

Vanessa PALAC, étudiante :

Laissez parler la vérité ( Retour à l’article )

Éric DESMET, formateur :

Bon courage ( Retour à l’article )

Rémi HUNDERTMARKT, étudiant :

Liberté pour tous ! ( Retour à l’article )

Évelyne SEROUDE, directrice Action Sociale :

Courage ( Retour à l’article )

Stéphanie LUYPAERT, assistante de direction :

Vive votre retour !!! ( Retour à l’article )

Sidonie WATRIGANT, journaliste :

Revenez vite... ( Retour à l’article )

Marie GHYSELS :

Courage ! ( Retour à l’article )

Abdelhamid BENKOULA, menuisier :

Libérez les gens innocents ( Retour à l’article )

Catherine CHANUDET, Marie LEMESLE, Dorothée PAUVEL, étudiantes :

Courage ! Nous sommes avec vous !!! ( Retour à l’article )

Fabien HUIN, étudiant :

« Vive la liberté de la presse, liberté du peuple » ( Retour à l’article )

Joël VUYLSTEKER, enseignant :

Surtout, que les pires de nos députés ne s’en mêlent pas !!! ( Retour à l’article )

Annie DUFFROY, fonctionnaire :

Vive la paix ! On ne veut plus entendre que des journalistes sont pris en otage quand ils font leur travail. ( Retour à l’article )

Simon et Henriette LESNIAK, retraités :

Sans informations, tout devient dramatique. Libérez-les ensembles. ( Retour à l’article )

Brigitte DEWEZ, La Poste :

Qu’ils nous reviennent vite sans dommage. ( Retour à l’article )

Véronique REBUT, étudiante :

Courage ! ( Retour à l’article )

Jean-Pascal LEULIET, agent EDF :

Nous sommes en train d’accepter la fin de l’expression libre qui ne sera poursuivie que sous la remise de rançons à quelques titres que ce soient en renonçant à la liberté de l’être humain et la liberté de la presse. ( Retour à l’article )

Christiane PARIS, retraitée :

Vous avez notre soutien. Courage ! ( Retour à l’article )

Thomas VERWAERDE, sans emploi :

Merci de nous informer sur ce qui se passe ici et là-bas. Bon courage à vous tous, nous vous soutenons et pensons à vous. ( Retour à l’article )

Laurence BIWOLE, étudiante :

Libérez les journalistes qui sont innocents et font simplement leur travail pour nous ( Retour à l’article )

Delphine BEAUWAIS, éducatrice spécialisée :

Le journalisme est en danger ! ( Retour à l’article )

Julien LECEUILLE, assistant d’élu :

Pas de démocratie sans liberté de la presse ( Retour à l’article )

Martin NIKODÈME, sans emploi :

Pour elle, pour lui, parce qu’ils ne sont pas seul mais que deux c’est déjà trop ! ( Retour à l’article )

Ginette DELAPLACE, institutrice retraitée :

Libérez-les au plus tôt, avant qu’il ne soit trop tard. Nous pensons fort à vous deux et à votre famille. ( Retour à l’article )

Caroline QUÉTELARD, étudiante infirmière :

Libérez-les au plus tôt avant qu’il ne soit trop tard. ( Retour à l’article )

Laure HUIN, lycéenne :

Courage ( Retour à l’article )

ABDELLI, cariste :

Bonne chance ( Retour à l’article )

COLIN, étudiant :

Bon courage ! ( Retour à l’article )

Ghislain FOTSO, étudiant :

Libres ! ( Retour à l’article )

Lisa PELLEGRINI :

Peace ! ( Retour à l’article )

Emmanuelle WAUQUIER, sage-femme :

Meilleur soutien. Courage ! ( Retour à l’article )

Serge HABIB, directeur général :

Bon retour ( Retour à l’article )

Mathieu PERFETTI, étudiant :

Bon courage ( Retour à l’article )

Marie GOMBAULT, étudiante :

Bon courage ( Retour à l’article )

Madame MARQUES, assistante commerciale :

Gardez espoir ! ( Retour à l’article )

M. MULLER, médecin :

Libérez-les ! ( Retour à l’article )

LEFEVRE, étudiante :

Libérez-les ( Retour à l’article )

VUIMARD, chef de rayon :

Libérez-les ( Retour à l’article )

M. DEBOUDT, géographe :

Libérez-les ( Retour à l’article )

Laurence DURIBEUX :

Libérez-les ( Retour à l’article )

Mme COCOT, secrétaire médicale :

On y croit ! ( Retour à l’article )

Éric LHEURETTE, enseignant chercheur :

La musique est belle ( Retour à l’article )

Anique MEGRALI, responsable d’édition :

Que la musique soit forte ! ( Retour à l’article )

Isabelle HOFLACU, pharmacienne :

Vive la liberté et la musique ! ( Retour à l’article )

Sheila MACLILOT, professeur :

Good luck ! ( Retour à l’article )

Marie SULLER, directrice de CIO :

Courage ! Plus jamais ! ( Retour à l’article )

Alain ROY, maitre de conférences :

Solidarité ! ( Retour à l’article )

Noël DEFFROY, ouvrier et entretien accueil :

Bonne chance ! ( Retour à l’article )

M. LANGRAOUD, retraité :

Florence, tu n’es pas toute seule ! ( Retour à l’article )

Jean REVEILLON :

En espérant vous retrouver vite tous les deux ! ( Retour à l’article )

Mme BRILLOUET :

J’espère de tout cœur ! ( Retour à l’article )

M. MANUCCI, informaticien :

Libre ! ( Retour à l’article )

DESNOUSSEAUX, chef de rayon :

Libre ! ( Retour à l’article )

Malika CARIN, informaticienne :

Tenez bon ! ( Retour à l’article )

Marie THIEUW, psychologue :

À bientôt ! ( Retour à l’article )

Françoise THIEUX :

Mille pensées d’amitié ( Retour à l’article )

Jean-Marie MARTIN :

Que la liberté demeure ! ( Retour à l’article )

SAMYN, retraité :

Vive la liberté ! ( Retour à l’article )

Thierry PLANTEGENER, ingénieur :

Tous ensemble pour la liberté de notre presse ( Retour à l’article )

Raphaël COQUEL, retraité :

A bientôt ! ( Retour à l’article )

Delphine ROBERT, responsable commerciale :

Courage ! ( Retour à l’article )

Élodie DREMEIRE, étudiante :

De tout cœur avec vous ! ( Retour à l’article )

Élodie ARC, aide familiale :

Courage ( Retour à l’article )

Julie GOERGEN, étudiante :

Vite ! ( Retour à l’article )

Julien HEIDET, étudiant :

Gardez le courage ( Retour à l’article )

Isabelle BOURRY, employée restauration :

Revenez vite ( Retour à l’article )

Pauline FRISON, journaliste :

Courage ! ( Retour à l’article )

Christine WILLIAME, professeur :

On est avec vous ! ( Retour à l’article )

Christian DURIEU, médecin :

Espoir ! ( Retour à l’article )

Laurène DURIEU, étudiante :

Liberté ( Retour à l’article )

Christel FARINE, enseignante :

Courage ! ( Retour à l’article )

Catherine CAMPO, employée :

Courage ! ( Retour à l’article )

Régis RENARD, indépendant :

Bonne Chance ! ( Retour à l’article )

Mme BEAUMANN, femme au foyer :

Il faut du courage. Bonne chance ! ( Retour à l’article )

Damien COLICHE, VRP :

Courage ! Tenez bon ! ( Retour à l’article )

Monique COLICHE, direction :

Courage ( Retour à l’article )

Caroline GUILBAUT, masseur kiné :

Bon courage ! ( Retour à l’article )

Aude ACHEMLAL, infirmière :

Courage ! ( Retour à l’article )

Michaël DIAMOND, étudiant :

Leur liberté, c’est la notre ! ( Retour à l’article )

Mme DUPUIS, retraitée :

Courage ! ( Retour à l’article )

M. LEGER, enseignant :

Et pour tous les autres dont on parle moins (pas ?!) ( Retour à l’article )

Arnaud LEROY, graphiste :

Courage ! Cela ne peut pas durer. ( Retour à l’article )

Mme BENBAUSSELHAM, vendeuse :

On est là pour vous ( Retour à l’article )

Julie, lycéenne :

Laissez-les travailler !! ( Retour à l’article )

Catherine GUEMBOIS :

Courage ! Ne laisser pas tomber. ( Retour à l’article )

Mme PARMENTIER, secrétaire :

Courage et à bientôt en France. ( Retour à l’article )

M. GUILLEVIC, enseignant :

On est tous ensemble. ( Retour à l’article )

M. BOHNON, enseignant :

N’abandonnons pas ceux qui n’abandonnent pas l’information. ( Retour à l’article )

Emmanuel MARTIAL, archéologue :

Libérez-les ! ( Retour à l’article )

Quentin RÉVEILLON, étudiant :

Tenez bon et revenez-nous vite ! ( Retour à l’article )

Mme MOGLIOPPI, ouvrière chez Grand’Mère :

Tenez bon, on crie votre nom dans toute France. ( Retour à l’article )

M. MARTIN, médecin :

Je suis très en colère ! ( Retour à l’article )

MORESSE, photographe :

Pourquoi ? ( Retour à l’article )

David BOLVIN, auteur de bande dessinée :

Courage face à la barbarie ( Retour à l’article )

Julien GALARDON, étudiant :

Pour que chacun d’entre nous, puisse penser et faire son métier. ( Retour à l’article )

Julien BOYEZ, étudiant :

Leur liberté, c’est celle de tous ! ( Retour à l’article )

Dominique SARLON, éducateur :

Tant qu’ils ne sont pas dehors, nous ne le sommes pas. Libérez-les ! ( Retour à l’article )

Ivan PRAUD, archéologue :

Il faut y croire ! Accrochez-vous ( Retour à l’article )

Jean-Pierre GALLASSE, formateur :

Le temps est gris aujourd’hui, mais la musique est là pour toi et pour nous apporter la lumière dans l’espoir de te lire ( Retour à l’article )

Rachid RIZOUG, directeur de « Islam Hebdo » :

Ils vont revenir parce qu’il le faut. ( Retour à l’article )

Mlle ZAWISZA, étudiante :

Que le gouvernement bouge ! ( Retour à l’article )

Gwénaël PASCAL, enseignante :

Continuez à nous ouvrir les yeux ( Retour à l’article )

Stéphane BLOT, trésorier du BV Info :

Bon courage et vive la liberté ! ( Retour à l’article )

Aïcha MAAROUFI, mère au foyer :

Bon courage et retrouvés votre liberté. ( Retour à l’article )

Malika AITBOURHIM :

Bon courage et soyez libérés le plus vite possible ! ( Retour à l’article )

Florent DELAHAYE, président de l’association Banc-Vert Information :

De tout cœur avec vous. ( Retour à l’article )

Valérie COORWAËRT, étudiante :

Bon courage ! En espérant que vous soyez vite libérés. ( Retour à l’article )

Richard RAPAICH, artiste plasticien :

Avec des mots d’un poète hongrois, Miklos Radnoti - (extrait de Prisons paisibles de jadis, 1944. - trad. J.L.Moreau) :
« Quel sort guette celui qui tant qu’il vit,
tant qu’il survit, s’exprime en forme et dit,
comme un témoin, le vrai de son époque ?
Il est là qui regarde, il voudrait bien
parler encore...
 » (...)
Et avec les miens :
Nous aussi voulons, exigeons et faisons tout ce qui est possible pour rendre votre parole, votre liberté.
Chaque mot compte, chaque acte de solidarité doit vous aider à tenir. Que ses signes puissent vous atteindre ! et vous rendre confiants et encore plus forts. ( Retour à l’article )

Martine BILLY, professeur de yoga :

Garder foi en l’Homme, en sa capacité de déplacer les montagnes, de négocier, de vous secourir.
Foi en la solidarité, qui s’exprime par la synergie de toutes les pensées, prières qui convergent vers vous.
Foi en vos ressources profondes insoupçonnées, qui vous permettent de tenir, de survivre, de croire à la fin de votre calvaire.
Fois dans le temps, qui n’a plus la même valeur pour vous, foi dans l’instant.
À très bientôt. ( Retour à l’article )

Denis DUROYON, journaliste retraité :

Soutien total à la campagne énergique pour faire libérer Florence Aubenas et son guide. J’espère qu’ils auront plus de chance de sortir grâce à cette action tenace… pour les libanais, c’est plus dur. ( Retour à l’article )

Philippe HOLLEVOUT, artiste peintre :

Florence est dans une maison, une cave, un trou noir, ou des ombres traversentsaprisonparmoments.
Sûrement, lui donne t’on de l’eau, sûrement l’a nourrit on, en observant les doses avalées afin qu’elle reste en vie...dans sa cage... soumise et isolée.
Je ne connaissais pas Florence auparavant, peut être l’ai-je croisé dans un train, sur une aire d’autoroute, dans un café sans la reconnaître... sans savoir qu’elle était ma soeur.
Aujourd’hui, ma soeur souffre, J’ai punaisait sa photo, découpé dans un hebdomadaire, un petit bout de papier ou elle et hussein semblent heureux et paisibles.
J’ai ensuite, aperçu son pauvre regard sur une vidéo cradingue au journal de vingt heures, il y a quelques semaines, un pathétique portrait ou Florence amaigrie, abimée, souffle un texte appris.
Dans mon album de famille, il y a une photo de presse et une vidéo à pleurer...c’est tout ce que j’ai récupéré de ma soeur !
Mais, Florence est en vie, elle est blessée mais en vie... bientôt je jetterai mon album, Je la verrai à nouveau à la télé, elle sourira, elle prendra des gens dans ses bras, pleurera, alors, je pleurerai aussi, bouffé par l’émotion de revoir la soeur que je ne connais pas, rentrer chez elle !...( Retour à l’article )

Georges HAGE :

Florence AUBENAS et Hussein HANOUN AL-SAADI ont disparu depuis le 5 janvier dernier, alors qu’ils exerçaient leur profession de journalistes en Irak.
Aucun citoyen épris de justice, de liberté et de paix ne peut rester indifférent à leur sort et demeurer sans réagir.
D’abord parce que leur détention est insupportable sur le plan humain. Les droits de l’homme sont ainsi bafoués.
Ensuite parce qu’il s’agit de journalistes et qu’au-delà de leurs personnes, c’est une autre liberté qui est foulée aux pieds : celle pour chacun d’entre nous d’être informés, fondement de la démocratie et de la citoyenneté.
Les journalistes, qui ont exercé en Irak ont pris des risques pour nous tous. Ils nous ont permis de mieux saisir ce qu’étaient les enjeux de cette guerre, les dangers d’un monde sous la domination d’une unique puissance, d’un unique système économique.
Grâce à eux, nous pouvons mieux comprendre et donc mieux intervenir.
Pour toutes ces raisons, je tiens à apporter tout mon soutien à Florence et à Hussein. De notre mobilisation dépend leur liberté.( Retour à l’article )

Jean LEFRANC :

Que l’ensemble des français se mobilise pour que ces journalistes soient rapidement libérés. Bon courage à toute sa famille et ses collègues.( Retour à l’article )

Yvette GOURDEU :

Florence, Hussein, je vous souhaite un très grand courage.( Retour à l’article )

Francine DEMARLE, Professeur d’histoire,
géographie :

Demain, enfin, je décrocherai vos sourires affichés dans la salle des professeurs du Collège Roger Salengro d’Houplines dans la banlieue Nord de Lille. Parce que vous êtes des êtres dont le travail est la liberté, parce que un soir à lille, lors d’une réunion
vos amis vous ont racontés, j’ai attendu si fortement ce moment . Florence en France et Hussein parmi les
siens. A bientôt. Derrière un nom de presse, je mets un visage et une envie de dire qui est vitale pour tous et toutes. Derrière ces informations, je mets une profession, fixeur. Je vous embrasse très fort tous les deux. Demain, lundi, vs serez avec mes élèves.( Retour à l’article )

Les messages précédents


 

 

 

La Vie du Club

ESPACE PRESSE