Dans le cadre de cette commission, la réalisatrice Elizabeth Drévillon (Présidente et membre de la Guilde des auteurs réalisateurs de documentaires) et le journaliste d’investigation Jean-Baptiste Rivoire ont affirmé devant le Sénat que la pression des chaînes sur les auteurs-réalisateurs de documentaires portait préjudice au débat démocratique.
La dirigeante du syndicat affirme qu’en raison d’un manque de contenus d’investigation politique et économique sur le petit écran, « les citoyens "vont chercher ailleurs l’information, ce qui ouvre la porte aux fake news et au complotisme". Elle explique également que suite à un sondage réalisé par son syndicat auprès de ses adhérents, « 60 % disent "s’autocensurer" avant même de proposer leur projet, de crainte qu’il soit refusé. »