Accusé par ses auteurs de ne pas avoir dénoncé, comme la loi l’y oblige, quatre de ses collaborateurs supposés coupables de viols, agressions sexuelles et harcèlement dont lui disait avoir été victime une de ses employées, Rémi Pauvros avait intenté une procédure en diffamation à l’encontre de Causette.
Mercredi 19 décembre, le tribunal d’Avesnes-sur-Helpe a annulé la procédure, donnant foi à plusieurs arguments soulevés par la défense, et débouté le maire de Maubeuge dans ses demandes de dommages et intérêts. A lire dans La Sambre en vente le 21 décembre la réaction de Rémi Pauvros et du directeur de la publication de Causette suite à ce jugement.