« Depuis 2017, avec sa rubrique « Fake off », 20 Minutes lutte contre les fausses informations. Chaque jour, nous tentons de démêler le vrai du faux à travers de nombreux sujets, qu’ils soient politiques, économiques ou liés à l’environnement ou au numérique », a écrit le journal hier sur son site.
Selon le journal, les quatre journalistes de la rubrique « Fake off », Emilie Jehanno, Mathilde Cousin, Maïwenn Furic et Lina Fourneau, ont affirmé que « le fact-checking avait encore toute sa place aujourd’hui dans l’univers des médias pour trois principales raisons ». Tout d’abord, sa pratique aide à préserver la démocratie en luttant contre la désinformation, parfois utilisée comme arme politique. Ensuite, le fact checking s’adapte aux nouvelles technologies qui deviennent de plus en plus performantes. Et enfin, le fact checking permet de renforcer la confiance envers les médias en assurant une information juste, vérifiée et transparente.