Soutenir les actions solidairesLe monde associatif constitue une richesse inestimable pour notre région. De nombreux bénévoles œuvrent inlassablement pour améliorer le quotidien des autres, lutter contre les exclusions et les discriminations, faire évoluer notre cadre législatif, etc. Ce travail de fourmi s’avère de jour en jour plus indispensable. Pour autant, il demeure souvent méconnu, noyé dans la culture consommatrice et individualiste qui n’a de cesse de se développer. Expression naturelle du lien interhumain, la solidarité n’a jamais été une pratique aisée. L’isolement la rend d’autant plus difficile. Plus elle s’applique à des catégories spécifiques, plus elle échappe à la sphère médiatique. Le « Noël du Club » a précisément pour objectif de sortir les associations de l’ombre, de mettre leur travail en lumière, de donner la parole à leurs animateurs. C’est un des rôles que s’est donné le Club de la presse Nord – Pas de Calais : aider les associations solidaires qui ne disposent pas des outils de communication nécessaires à mieux se faire connaître. Communiquer, échanger et être entendu sont autant de conditions indispensables pour exister et pour développer les actions de solidarité. Tel est le sens du coup de projecteur que nous voulons donner, chaque année, à l’une d’entre elles. Philippe Allienne |
Le Noël du Club :
Mercredi 19 décembre 2007
au Palais des Beaux-Arts de Lille
à 19h00,
pour soutenir l’association « D’origine inconnue »
Pour les adhérents du Club de la presse et leurs invités, Noël est prétexte à joyeux et salutaire rassemblement. Mais pour joindre l’utile à l’agréable, l’association a voulu doubler la fête d’une bonne action.
Il y a donc 9 ans, à la faveur du rendez-vous périodique, décision fut prise d’offrir à une association solidaire de notre région le savoir-faire du Club pour sa communication.
Il souhaitait mettre ses compétences et ses outils au service de l’action choisie afin de lui assurer l’intérêt qu’elle mérite.
La soirée de Noël est aussi, bien sûr, l’occasion de récolter des fonds qui viennent renforcer les moyens d’associations souvent démunies…
Cette 9ème édition permettra de soutenir l’association « D’origine inconnue » qui succède aux « Restos du Cœur », « SOS Hépatites », « IEM Jules Ferry »(1), « B comme Avenir »(2), « SEVA »(3), au projet « Gréement » de l’association AAE (4) de Dunkerque, à « VML/Vaincre les Maladies Lysosomales », à l’action « Parole de femmes » de l’association dunkerquoise AJS-le bon emploi de la solidarité.
L’accent sera mis sur la mission que s’est fixée l’association bénéficiaire. Le Club de la presse propose d’organiser un débat sur le bilan de la loi sur l’accouchement sous X, l’évolution de la loi de 2002 dite « loi Royal », et le problème de son application de nos jours.
La présentation de la soirée de Noël 2007 et de son objet fait l’objet d’une conférence de presse, ce 4 décembre, au Club, à Lille
Quant à la soirée de gala, festive et solidaire, elle accueillera nos invités au Palais des Beaux-Arts de Lille, le 19 décembre, à 19h. Le produit des recettes (entrées et tombola) et les contributions des donateurs qui ont accepté d’accompagner par leur propre contribution financière, sera remis à l’occasion d’un « Lundi du Club », en janvier 2008.
(1) association de parents de handicapés ;
(2) association qui s’attache à créer des jardins familiaux au Brésil ;
(3) association pour la solidarité, l’éducation, les valeurs humaines et l’assistance ;
(4) service spécialisé dans l’accueil, la domiciliation et l’accompagnement des SDF.
« D’origine inconnue », un espoir, un refuge, un soutien
Un beau jour de septembre 2001 à Lille, Agnès et Myriam ont créé l’association « D’origine inconnue ». Deux jeunes femmes aux parcours différents mais avec les mêmes interrogations : « Qu’elles sont mes racines ? »
Toutes deux sont des enfants « nés sous X ». Cette distinction ne les autorise pas à connaître leurs parents biologiques. Cependant, très tôt, pour se construire, le besoin s’est fait sentir de savoir, d’apprendre la vérité. A qui ressemble-t-on ? Pourquoi m’a-t-on abandonné(e) ?
L’une a vu sa mère, l’autre une sœur. Même si les rencontres ne sont pas faciles, un même sentiment se fait sentir : la liberté. Désormais, elles savent !
Face aux démarches qu’elles ont du suivre, face aux obstacles qu’elles ont du contourner, une volonté a germé : aider tous ceux qui veulent s’engager vers la démarche de la vérité.
Si vous leur parlez de leur association et de son importance elles vous répondront qu’elles sont « comme une fleur : si vous la déterrez avec sa racine et que vous la replantez n’importe où, elle pourra continuer à grandir. Par contre si vous coupez ses racines jamais plus elle ne pourra grandir ! Comme elle, [elles] ont besoin de leurs racines pour pouvoir s’épanouir ».
Fortes de leurs expériences et de leurs difficultés, leur objectif était clair : créer une association pour aider toute personne dans sa recherche des origines, la guider dans les démarches administratives, la soutenir et l’écouter. Chaque cas étant différent, l’association offre un service adapté. Une fois le dossier récupéré aux archives du conseil général du lieu de naissance, les bénévoles de « D’origine inconnue » aident la personne née sous X à retrouver ses origines en effectuant une véritable enquête.
Cependant, l’action ne devait pas s’arrêter là. L’information était primordiale. La population devait comprendre et connaître les difficultés auxquelles doivent faire face toute personne née sous X en France. Le but est bien de faire bouger les choses.
Aujourd’hui l’association compte 377 adhérents et fonctionne grâce à l’aide de :
Fanny Bontinck, présidente ;
Agnès Quantin, fondatrice et coordinatrice ;
Christine Dupont, trésorière ;
Vincent Grioche, responsable informatique.
Contact mail : contactaquantin aol.com
Il existe deux formules d’adhésion :
Membre : adhésion 20 €.
Membre + : adhésion 20 + 15 euros de frais de dossier. Cette formule permet d’obtenir l’aide administrative de l’association dans les démarches.
Pour plus d’informations : www.dorigineinconnue.org
L’accouchement sous X : une complexité législative.
Depuis 1793, l’accouchement sous X, en France, permet à une mère de donner naissance dans l’anonymat. Dans l’Union Européenne, la France fait preuve d’exception en autorisant le secret sur la naissance. Si les Droits de l’enfant de la convention de l’ONU précisent que chaque enfant a le droit de connaître ses parents biologiques, l’article 8 de la convention européenne des droits de l’homme sur le respect de la vie privée et familiale doit être respecté.
Dès lors, quels sont les droits de près de 500 enfants qui naissent encore sous X chaque année en France ?
De nombreuses associations, soucieuses du problème engendré par l’anonymat des accouchements et des conséquences sur ces enfants qui n’ont pas la possibilité de connaître leur passé, se battent au quotidien pour faire changer les lois. En effet, même si depuis 1978 les enfants dont la naissance a été placée sous le signe du secret peuvent avoir accès à leurs dossiers, ceux-ci peuvent s’avérer vides si la mère n’a pas voulu laisser son identité.
Une loi pour humaniser l’accouchement sous X et faciliter la recherche de ses origines.
En janvier 2002, la « loi Royal » est adoptée. Celle-ci voulait « concilier la protection du droit des femmes à l’accouchement dans le secret et l’organisation de sa levée volontaire permettant à tout enfant d’accéder, le moment venu, aux éléments constitutifs de son identité. »
Dans ces moments difficiles où chaque démarche est un combat, cette loi a permis la création d’un Conseil national pour l’accès aux origines personnelles (CNAOP).
Tout enfant qui entame une procédure de recherche de ses parents biologiques doit d’abord demander son dossier aux archives du Conseil général du lieu de sa naissance. S’il existe la moindre suspicion du désir de non dévoilement de l’identité des parents biologiques, le Conseil général remet le dossier aux demandeurs en cachant les informations essentielles sur la mère ou le père.
C’est alors que le CNAOP entre en jeu. Désormais, il est le seul habilité à faire les démarches pour entamer une médiation entre parents biologiques et enfants nés sous X. Le CNAOP a la possibilité d’accéder à toutes les informations figurant dans les dossiers que les Conseils généraux possèdent. A partir de là, sa tâche la plus sensible consiste en effet à rechercher la mère biologique et à obtenir son consentement afin qu’elle autorise son enfant naturel qui en fait la demande à connaître ses origines.
Une loi insuffisante pour les « nés sous X ».
Dans la pratique, la « loi Royal » précise que toute femme sera désormais incitée à laisser des renseignements sur les circonstances de la naissance de l’enfant et (si elle l’accepte) sous pli son identité pour que le secret puisse ultérieurement être levé. Elle sera également encouragée à confier des renseignements sur la santé des parents de l’enfant et l’histoire de son origine.
Cependant cette distinction n’a rien d’obligatoire. De nombreux enfants continuent de naître sans possibilité de savoir un jour la vérité sur leurs origines.
Actuellement le CNAOP bénéficie de peu de moyens et manque de personnel. Un siège est à pourvoir et plusieurs associations se sont déjà mobilisées pour que celui-ci soit pourvu et aide donc les associations et les nés sous X dans leurs démarches.
L’art et la culture solidaires
« Nés sous X » une chanson pleine d’émotion et de sincérité.
Fruit de l’amour et enfant désiré, Pascal Corniot n’était pas prédisposé à écrire une chanson sur l’accouchement sous X et pourtant ce sujet l’a touché.
Une nuit d’insomnie, l’inspiration est venue immédiatement. Quelques heures plus tard, le refrain et la mélodie étaient trouvés.
Pour les couplets, c’est après un travail de documentation et en lisant des témoignages que la chanson a été bouclée.
Aujourd’hui elle s’intitule « Nés sous X » et est interprété par le groupe P et MI.
La vente du CD permet aux associations « D’origine inconnue » et « P et Mi » qui ont coproduit le CD de continuer leur travail respectif.
Le Palais des Beaux-Arts de Lille
Situé en plein cœur de la ville, en face de la préfecture, le Palais des Beaux-Arts de Lille en impose par son bâtiment typique de l’architecture du XIXe siècle. Fort de ses expositions permanentes qui proposent des arts aussi divers que variés, le musée compte parmi les premiers musées français.
Le Palais des Beaux-Arts de Lille dispose de nombreuses expositions permanentes qui présentent plusieurs collections de peinture européenne, un cabinet des dessins, un département des Antiquités, du Moyen Âge et de la Renaissance, des céramiques des XVIIe et XVIIIe siècles, des sculptures françaises du XIXe siècle et des plans-reliefs du XVIIIe.
Le musée ne se contente pas de ses collections mondialement connues. Au contraire, tout au long de l’année, il tente de faire découvrir différentes formes d’art et de culture. Il offre en effet au public une programmation culturelle très diversifiée en organisant des rencontres « nocturnes », des « midis musiques », des rendes-vous « musées amusants », etc.
Plusieurs expositions temporaires sont annoncées : L’Atelier de la Monnaie (14 décembre 2007-15 mars 2008), Les Caprices de Goya (24 avril- 28 juillet 2008), Lumières nordiques (automne 2008)
Pour plus d’informations : www.pba-lille.fr
L’atelier de la Monnaie, Lille artistique (1957-1972)
Le classicisme et le rigorisme de l’enseignement officiel de l’Ecole des Beaux-Arts de Lille n’étaient pas pour eux ! Quelques artistes régionaux se sont donc réunis pour laisser libre court à leurs inspirations moins conventionnelles. En 1956, Roger Frézin, Claude Vallois, Pierre Olivier, Jean Parsy, Jean Brisy, Adolphe Deronne, Lyse Oudoire décident de créer une association de contestation radicale : « l’Atelier de la Monnaie ».
Dès lors, ils organisaient une manifestation annuelle pour confronter leurs oeuvres.
L’exposition présente les oeuvres contemporaines exposées pendant les 15 années d’activité de l’association.
Ces artistes pleins d’humour et de fantaisie, décriés, voire rejetés à leurs débuts, ont fait de Lille un centre important de la création contemporaine.
Le Palais des Beaux-Arts de Lille ouvrira les portes de cette exposition pour les invités du Club de la presse.
Histoire d’une action solidaire…
Noël, fête familiale, joyeuse… est parfois aussi cruelle pour ceux qui sont en butte aux difficultés de la vie.
Faire la fête sans regarder autour de nous laisse un goût amer.
En lançant, dès 1999, l’idée d’une rencontre de fin d’année entre ses adhérents, le Club de la presse a bien ressenti cette nécessité d’une double dimension conviviale et… solidaire.
C’est pourquoi, à la faveur de ces retrouvailles, régulières depuis maintenant 9 ans, il cible une oeuvre ou une cause, à chaque fois différente, qu’il médiatise et à laquelle, en outre, il apporte - avec le soutien de ses fidèles partenaires - un appréciable coup de pouce financier.
Histoire d’une bonne action…
- 1999 : A tout seigneur tout honneur : c’est presque naturellement aux « Restos du cœur » de l’ami Coluche, dont l’action en matière d’aide alimentaire aux plus démunis fut emblématique, que le Club de la presse Nord-Pas de Calais dédie le produit de son premier Noël.
- 2000 : C’est le travail de « SOS hépatites », toute jeune association, qui est mis en exergue car elle mène un combat pertinent dans une région du Nord où 60.000 familles sont concernées par une maladie aussi grave qu’insidieuse…
- 2001 : Soirée de fin d’année au profit de l’institut d’éducation motrice (IEM) Jules Ferry qui, à Lille, accueille 65 (chiffre de l’époque) enfants et ados. L’enveloppe dégagée par notre Noël contribue au financement d’un véhicule adapté au transport des jeunes handicapés.
- 2002 : Les phares de l’actualité sont, cette fois, concentrés sur « B comme… avenir », association nordiste s’efforçant d’aider les familles d’une province pauvre du Nordeste brésilien, à cultiver elles-mêmes leurs fruits et légumes. A l’époque 3.000 m2 étaient ainsi entretenus par une trentaine de familles. Cette initiative a été motivée par l’importante mortalité infantile relevée parmi cette population démunie.
- 2003 : l’action soutenue est celle que mène, alors, « Solidarité Education Valeurs Humaines Assistance » qui, le dimanche midi, sur le parvis St-Maurice, à Lille, apporte des repas chauds aux personnes vivant dans la rue.
- 2004 : le Club fait mieux connaître l’association d’action éducative de Dunkerque et il appuie concrètement le projet de deux éducateurs de rue visant à réaliser « Le Gréement » un foyer-relais pour SDF âgés donc particulièrement exposés aux conséquences de leur état de dénuement ; pour ces personnes « trop cassées par la vie pour vivre seules » aucune structure adaptée n’existe en effet…
- 2005 : c’est l’année du changement ! Jusqu’ici bien au chaud dans les locaux du Club, le « Noël » sort en ville porter la bonne parole et ambitionne de devenir un rendez-vous marquant au calendrier régional. Du coup, grâce à l’implication toujours plus forte de nos fidèles partenaires et aussi celle de nos adhérents, la soirée monte en gamme, en proposant aux invités du cocktail traditionnel, exposition et concert. Il faut dire que le premier lieu choisi pour cette décentralisation s’y prête : la Condition publique, à Roubaix, dont le foisonnement culturel n’est plus à présenter !
Tous ces efforts sont récompensés puisque la somme recueillie se monte à 3.700 €, contre une moyenne de 1.000 à 1.524 € pour les éditions précédentes « at-home ».
« Vaincre les Maladies Lysosomales » (antenne de Tourcoing), destinataire du chèque final, en a bien besoin, elle qui regroupe et soutient les familles où un enfant souffre d’une maladie génétique rare (dite « orpheline »). Des enfants dont l’espérance de vie, sauf progrès de la recherche et de la médecine, est en moyenne de 15 ans. D’où l’engagement de VML de « faire avancer les choses plus vite »…
- 2006 : Le bel hôtel Crowne Plaza, à Lille, sert de cadre à une manifestation pour laquelle le Club ne sonne pas en vain le rappel de tous ses amis : record battu, avec 4.400 €, récoltés notamment auprès des deux cents personnes rassemblées pour entendre et soutenir « Paroles de femmes », action éducative menée par l’AJS de Dunkerque dont la mission est « d’aider tout public en grande difficulté, principalement des femmes et majoritairement d’origine étrangère » exposées à toutes les formes d’inégalité.
- 2007 : le 19 décembre prochain, au Palais des Beaux-Arts de Lille, avec l’association « D’origine inconnue » le Club s’élargit à une cause qui vise cette fois un phénomène sociétal (voir notre présentation dans ce dossier de presse).
Le Club a 15 ans et plus de 500 adhérents
Le Club de la presse Nord - Pas de Calais est né en 1992 à Lille de la volonté de journalistes souhaitant disposer d’un lieu de rencontres, d’échanges et de débats utiles à la profession.
Pour accueillir ses adhérents et les débats dans des conditions optimales, le Club est rapidement passé des locaux de l’Ecole Supérieure de Journalisme à ceux de la place Rihour, puis à l’actuel immeuble du 17 rue de Courtrai.
C’est qu’entre temps sa notoriété -et ses effectifs- ont grossi, d’autant qu’il a intégré les professionnels de la communication ainsi que de nombreuses entreprises amies qui soutiennent ses actions.
Il compte à ce jour 511 adhérents, dont :
183 journalistes, titulaires ou non de la carte professionnelle ;
167 communicants de divers métiers ; 31 membres partenaires ;
104 entreprises (dont 31 « partenaires » et « amies ») ;
26 collectivités locales.
Le développement de ses activités a nécessité d’embaucher. Avec cinq salariés, le Club est aujourd’hui une véritable petite entreprise associative Loi 1901.
Ses missions ont largement évolué ajoutant, à la nécessité d’échanger et de débattre, des services réclamés par les adhérents et souhaités par de nombreux demandeurs extérieurs comme l’organisation :
de conférences de presse "clefs en main" ;
d’ateliers de réflexion sur les métiers ou l’actualité ;
de journées d’information des communicants sur les besoins des journalistes ;
de rencontres mensuelles des clubs "emploi" des journalistes et des communicants sur les évolutions de leurs métiers ;
d’événements comme le Noël du Club, la soirée de l’Annuaire, les Prix Chicon et Houblon, les Grands Prix ;
d’un Centre de Ressources proposant une base d’informations sur les médias, les métiers de l’information et de la communication, les textes législatifs, les jurisprudences, etc.
des "Lundis du Club" qui reçoivent des invités très divers ou aident des structures et initiatives modestes à se faire connaître ;
de l’accueil permanent (du lundi au vendredi, de 9h à 12 h et de 14h à 18h) des journalistes et communicants désirant disposer d’un lieu de rencontre, voire de travail par la mise à disposition de matériels ;
de réunions "hors les murs" pour rencontrer les confrères à travers toute la région.
Le Club de la presse Nord - Pas de Calais est aujourd’hui un des plus importants de France par ses activités régulières et son nombre d’adhérents.
Parce que ces derniers en ont fait leur maison.
Un projet associatif pour l’avenir
Lors de la dernière assemblée générale, les adhérents ont massivement approuvé les orientations de développement du Club engagées depuis plusieurs années.
Il a cependant semblé juste aux administrateurs de formaliser leurs engagements dans un projet associatif qui répond à la volonté des adhérents.
Il porte sur huit axes :
1. L’évolution du centre de ressources
2. Le développement des rencontres professionnelles
3. Le conseil et l’accompagnement des communicants et des journalistes
4. L’évolution de La Lettre et du site Internet
5. Le développement d’un pôle action et recherche
6. La presse à l’école
7. Le rapprochement avec les autres clubs
8. La solidarité avec les confrères étrangers
L’enrichissement et la diversification de ces actions permet aux partenaires du club de mieux s’identifier sur une ou plusieurs d’entre elles.
Parmi les chantiers neufs ou récents, le pôle action/recherche va travailler particulièrement cette année dans deux directions : une réflexion de fond sur le traitement de l’actualité sociale dans les médias et une autre sur l’évolution du photojournalisme.
Les initiatives sur la presse à l’école vont encore se développer. Le club travaille en lien avec le Centre de liaison de l’enseignement et des médias d’information (Clemi) et réalise régulièrement des interventions dans les établissements scolaires de la région.
Aucune des actions du club n’est menée au hasard. Toutes s’inscrivent dans un schéma cohérent et une même logique.
Un exemple : lorsque le Club fait voyager une de ses expositions-photos à travers la région, c’est pour mettre en valeur le travail des photographes du Nord – Pas de Calais et un regard original sur la région. En même temps, il renvoie -à travers ses débats et ateliers réflexion- aux questionnements sur les droits d’auteur, le droit à l’image, les conditions de travail des photojournalistes ici et ailleurs, la diversité de la profession, etc.
Les dirigeants bénévoles du Club
A la suite de la dernière assemblée générale du Club (juin 2007), le conseil d’administration renouvelé (comme chaque année) a élu son président, son bureau et désigné ses diverses commissions de travail.
Tous les administrateurs sont des bénévoles.
Pour l’année 2007, et jusqu’en juin 2008, le conseil d’administration se compose de :
Président : Philippe Allienne, correspondant pour Le Monde
Vice-présidents : Marc Dubois, journaliste retraité et Nicolas Leroy, journaliste à Chérie FM Lille
Secrétaire : Ludovic Finez, correspondant régional des Clés de la Presse
Secrétaire adjoint : Daouda Coulibaly, rédacteur en chef de Radio Rencontre
Trésorier : Jean-Paul Delbert, journaliste à France Recyclage News
Trésorier adjoint : Mathieu Hébert, journaliste à Nord Eclair
Olivier Aballain, journaliste à 20 minutes Lille,
Philippe Armand, président de France Autorail
Damien Bancal, journaliste fondateur de Zataz mag
Frédéric Baillot, formateur à l’ESJ Lille
Emmanuel Bayart, pigiste presse écrite
Thierry Butzbach, pigiste presse écrite, photographe
Marc De Langie, pigiste presse écrite
Alain Etienne, chargé des relations presse du Comité régional de tourisme
Paul Froissart, pigiste presse écrite
Christian Garitte, administrateur de Médiafor et vice-président de la CPNEJ
Alain Goguey, pigiste presse écrite
Eric Pollet, photographe reporter
Gérard Rouy, rédacteur pigiste, photographe
Olivier Touron, Photojournaliste
Il existe plusieurs commissions de travail
Développement
Grands Prix
Noël du Club
Prix Chicon Houblon
La Lettre
Comment utiliser le Club ...
Le Club de la Presse Nord-Pas de Calais est installé à Lille, 17 rue de Courtrai, près de la Porte de Gand.
Il est ouvert chaque jour de la semaine, de 9h à 12h et de 14h à 18h
Le Bureau se réunit tous les lundis.
Le Club Emploi Journalistes se réunit chaque 1er lundi du mois à 18h.
Le Club Emploi Communicants se réunit chaque dernier lundi du mois à 18h.
Chaque adhérent peut interpeller le Club ou suggérer des idées en contactant un membre du conseil d’administration ou la déléguée générale, Faouzia Allienne au 03.28.38.98.48.
Le site - www.clubdelapresse.org – dispose d’une messagerie par laquelle vous pouvez communiquer avec le Club.
Le Centre de ressources est consultable sur place. Pour réserver une plage horaire, contacter Faouzia Allienne au 03.28.38.98.48 ou clubdelapressenpdc nordnet.fr
La réservation de salles et l’organisation de conférences de presse se fait auprès de Faouzia Allienne au 03.28.38.98.48 ou clubdelapressenpdc nordnet.fr
Une équipe professionnelle permanente au service des adhérents et du public
Pour bénéficier des services du Club de la Presse, vous pouvez contacter :
Faouzia Allienne-Abdouh : Déléguée générale
Tél. : 03 28 38 98 48
Port. : 06 07 69 27 63
Email : clubdelapressenpdc nordnet.fr
Soizic Baron : Assistante de direction
Tél. : 03 28 38 98 47
Email : clubdelapresse nordnet.fr
Sébastien Closa : Webmaster, chargé du site internet et du Centre de ressources
Tél. : 03 28 38 98 49
Email : centreressourcesclub wanadoo.fr
Club de la presse Nord – Pas de Calais
17 rue de Courtrai – BP 49 – 59009 Lille cedex
Tél. : 03 28 38 98 48 – Fax : 03 28 38 98 42
Site Internet : www.clubdelapressenpdc.org
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